Les recherches en philosophie de la médecine d’Emmanuel Fournier prolongent celles qu’il a entreprises en philosophie générale. Elles portent notamment sur :
- la place du cerveau et le rôle que nos théories et nos imageries lui imaginent et lui font jouer dans la pensée,
- la place de la technique dans ce que nous lui demandons de dire et de faire.
Au souci de ne pas laisser les mots parler à notre place, répondent celui de ne pas laisser « l’organe de la pensée » penser à notre place ou dicter notre vie, et celui de ne pas laisser les techniques empêcher ce qui est de se révéler autrement.
Ces travaux se relient à ceux de François Delaporte et de Mathieu Corteel en histoire et philosophie de la médecine.